Alors les différents points ne formeront pas une ligne
il y a trop de célastre
grâce au tmatma, j’ai toussoté puis broyé les cendres dissipés aux vents.
En nictalope avancer en avancées aveugles souriantes depuis le frigo bleu. J’ai cadencé entre les noirs pièges à rêves et les vers militants. La pluie tombe à torrent pour la vie des perles du mimosa.
Les rivières chromatiques sont plantées dans l’argile.
Filtration écologique du système pour purification et rééducation socratique par l’expérience.
La spontanéité des gerbes électromagnétiques en cascades polysémiques, multidirectionnelles et exponentielles est activée.
Il s’agissait d’unir les cordes aux boucles pour arrêter le cyclope et nous voir dans le ciel immense. Les salamandres, les gibbons aux mains blanches et les Blue Bottles sont les sémaphores du panopticon.
Rendre hommage aussi ici aux nombreuses béquilles de sucres, fragiles étaies qui, je l’espère, sauront se déployer dans la chaleur de l’appel du vent et se nourrir de pluie pour s’enraciner avec bonheur.
L’écorché cyclope de personne est contré, la boule à facette perds de son lustre et laisse enfin le bleu du ciel se percevoir dans la multitude des couleurs. des cosmogonies embuées des lunettes, le rouge s’étire et s’épanche en opposé absolu.
mais toujours veillons à l’équilibre ici et maintenant.
Maïté Pouleur
28 janvier 2017, rue de Lommelet.
Dimanche 19 février 2017, à partir de 11 h 30 L’invitée de l’invitée : Sarah Ritter
Le samedi 25 février 2017 de 15 à 18 h et sur rendez-vous : 06 15 79 18 25 (L.H.)
1 février 2017