– Cabinet de curiosités, mnémosyne atlas, laboratoire ouvert ?
– Peut-être de l’art secondaire ?
Baptiste Vanweydeveldt, le retour ! Telle est la proposition de La plus petite galerie du monde (OU PRESQUE) en ce mois de mars 2020.
En février 2012, il nous avait particulièrement séduits en présentant des installations savamment orchestrées, pleines de sens, même si elles tenaient du bricolage agencé.
Certaines de ces installations se sont dissoutes dans le temps, d’autres perdurent, métamorphosées. Tel le navire de Thésée qui, pièce par pièce, se trouva remplacé dans la forme, il en reste le nom… C’est ainsi que procède Baptiste Vanweydeveldt : par métamorphose de la création de son univers poétique.
De retour après un long voyage, Baptiste Vanweydeveldt redéploie ses notes de voyages, ses plans, ses croquis, le journal de bord d’une histoire sans héros, un filet à papillons dans lequel il a capturé les ersatz d’une mythologie contemporaine dont il épuise les significations au travers de plusieurs médiums.
Poétique, on vous dit !
Dimanche 1er mars 2020 à partir de 11h30 jusqu’à 18h00 Pendant le vernissage : Maïa et ses chansons françaises
Exposition ouverte les samedis 7, 14 et 21 mars de 15 à 18 h et sur rendez-vous : Luc H : 06 15 79 18 25 ; Baptiste VANWEYDEVELDT : 06 61 75 66 07
10 mars 2020